i read Lautreamont's "Chants de Maldoror" some time ago, and at the time i thought i wouldn't forget the following phrase. Of course i did, therefore i decided to post it here, just in case :) :"C'est pourquoi, en présence de ta supériorité, je te donnerais tout mon amour (et nul ne sait la quantité d'amour que contiennent mes aspirations vers le beau), si tu ne me faisais douloureusement penser à mes semblables, qui forment avec toi le plus ironique contraste, l'antithèse la plus bouffonne que l'on ait jamais vue dans la création". Well, this was for Claudiu. But Lautreamont deserves to be mentioned anyway.
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